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Archive for juin 2009

Les soldes : une affaire qui roule !

29/06/2009 1 commentaire
Et voilà ! 1e jour des soldes, ce Mercredi 24 Juin, et déjà une affaire en or !
UKAN SKATE AND WALKJ’étais à Décathlon Campus pour faire des bonnes affaires dès le premier jour. Mes rollers détachables Rossignol (eh oui, Rossignol !!! Collectors donc !!! w00t.gif ) commençant à se faire vieux depuis les 11 ans que je les utilise (si si ! Achetés en 1998 et 11 ans de randos ! w00t.gif ), je regardais des rollers détachables Michelin U-kan skate & walk à 129 € dont la coque renferme une vraie chaussure de marche (comme vous pouvez le constater sur l’image à droite)…
Le vendeur vient et me demande « Je peux vous aider ? » Je lui réponds que je regarde les rollers détachables et que ceux que j’ai dans les mains n’ont pas l’air de très bonne résistance… Le vendeur me répond que, dans le rayon d’en face, il y a aussi une paire de Salomon en soldes
Je vais donc dans le rayon d’en face… Je les regarde… Ils fonctionnent de la même façon que le Michelin ci-dessus avec une vraie chaussure détachable… Je regarde la taille… La mienne, quelle chance ! Rire
Et d’un seul coup, je bloque sur le prix ! 40.00 € Rire Quel bonheur ! Rire
Je les essaie donc ! Ils me vont ! Rire Ni une, ni deux, je les prends et file à la caisse ! Hop, achetés ! Rire
Ce n’est qu’en rentrant que j’ai osé regarder sous l’étiquette de prix soldé le véritable prix.. 119 € ! Surpris
Je pense qu’il n’y avait pas à hésiter ! Ce n’est même pas le prix des roues + roulements ! Quelle chance ! La classe !
Et un autre ici pour expliquer le concept du Smartskate, les rollers urbains.
Le Smartskate de Salomon est un roller « détachable ». Après l’arrêt de l’activité roller de Rossignol, ce marché était dominé par Hypno, le seul fabricant de rollers à platines amovibles. Mais en 2006 Salomon a décidé de réagir en proposant le Chill et le Irony LX.
Il est composé d’une véritable chaussure basse amovible et d’un « socle » permettant de maintenir cette chaussure afin de faire du roller. Le but des détachables est de pouvoir aller partout en roller – y compris dans les endroits interdits – sans avoir besoin d’emmener une paire de chaussures et de déchausser / rechausser à chaque arrêt.
Quelques images :

 

Les données techniques (issues toujours de l’article dédié sur rollerenligne.com) :
Nom : Chill LX (hommes), Irony LX (femmes) (Gamme Smartskate)
Marque :  Salomon
Coque :  Souple/dur
Chausson :  Chaussure sportwear tige basse
Châssis : Aluminium embouti DR120, 263mm jusqu’au 42 2/3 et 275mm au dessus
Roues :  Salomon 84mm 80A
Roulements :  Twincam ILQ 9 standard
Frein :  Tampon
Serrage :  Boucle micrométrique, laçage rapide et scratches
Entretoises :  Aluminium
Notes :
Souplesse
: 8/10
Maintien 8/10
Serrage : 9/10
Confort : 10/10
Finition : 8/10
Châssis/platine : 6/10
Roulements :  9/10
Roues : 5/10
Axes/ visserie :  9/10
Points forts
+ Sensations proches d’un roller de type fitness
+ Très confortables
+ Spoiler articulé et repliable sur le socle
+ Mécanique solide et fiable
+ Système de laçage rapide et bien pensé
+ Chaussure très confortable et design
+ Peuvent facilement se mettre en restant debout
Points à améliorer
– Encombrement plus important que des Hypno
– Qualité globale des roues
– Platines non interchangeables
– Manque de réactivité
– Spoiler un peu trop orienté vers l’avant au repos
– Clips de maintien de la languette difficiles à mettre
 w00t.gif
Catégories :Divertissement

T’es d’min coin tizot’e

23/06/2009 2 commentaires
Déstockage once again…
 
Recette chti d’ché mi.
 
Comme tous les départements, le Nord, le pays des "cheutimi", a aussi ses spécialités culinaires.
 
Parmi elles, les 2 les plus connues sont sans doute :
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
De fait, vous pouvez mélanger les 2 pour obtenir un plat typique et délicieux :
 

Endives grâtinées au Maroilles

 
Vous avez plusieurs recettes à votre disposition (CuisineAZ, Marmiton, SuperToinette,…). Personnellement, je l’ai jouée assez simple (celle de Marmiton un peu modifiée) :
Préparez une grande quantité de sauce béchamel. N’hésitez pas sur le noix de muscade en assaisonnant.
Enroulez chaque chicon dans une tranche de jambon et disposez-les dans le plat. Prévoyez 2 chicons par personne.
Remplissez le plat avec la sauce. Saupoudrez de gruyère râpé. Hop au four 180°C pendant 45 mn.
On remplace la sauce béchamel par un peu de crème fraîche allégée, le fromage rapé par du Maroilles (genre 300 ou 400g pour 1kg d’endives) et zou… on enfourne le tout !
Un régal ! smilie smilie
 

Catégories :Aliments et boissons, Hobbies, Kiff Étiquettes : , ,

Ce que je me dis en ce moment…

18/06/2009 2 commentaires

 Il ne s’agit pas de créer les problèmes ou de ne pas les créer, mais de savoir les affronter et les résoudre quand ils apparaissent.
 
 
Personnellement, je ne me préoccupe pas qu’un problème arrive ou pas. Je n’aime pas cette vision très française qui veut que l’on s’attarde sur le problème et sa cause, au lieu de s’atteler, au plus tôt, à l’anglo-saxonne, sur sa résolution. Le problème est là. Qu’on sache d’où il vient ou qui l’a créé ce n’est personnellement pas mon souci premier. D’abord l’affronter et le résoudre, ensuite, éventuellement, en connaître la cause pour que ce problème ait moins de chance de réapparaître.
 
Quand un problème arrive à 8H30, j’aime bien qu’il soit résolu à 09H00 et non pas attendre toute la journée, voire le lendemain, en pensant qu’il s’amenuisera et/ou qu’il disparaîtra comme par enchantement avec le temps.
 
Lorsque vous avez une fuite d’eau, vous ne cherchez pas d’abord à savoir qu’est-ce qui a pû la causer ! Vous résolvez le problème au plus tôt, soit en coupant l’eau, soit en colmatant la fuite. Vous parez au plus pressé ! Vous ne laissez pas couler l’eau et partez, en espérant que ça s’arrête ! Pour moi, tout problème est similaire : on résoud le problème, et on peut passer à autre chose, l’esprit léger, d’autant plus en étant fier (ou pas ?) d’avoir résolu le problème, comme on dit, comme "un(des) grand(s)".
 
Dans ces cas-là, je n’ai qu’une phrase en tête, et les gens qui me connaissent le savent bien : SOLVE THE PROBLEM. Résous le problème.
 
Cette phrase me vient d’un film de 1995, avec Michael Douglas et Demi Moore, Harcèlement (Disclosure en VO), où Michael Douglas reçoit régulièrement un mail sur son ordinateur où un inconnu qui l’aide à sortir de la situation dans laquelle il se trouve lui écrit : "Ce n’est pas fini. Résolvez le problème !". Et cette phrase revient plusieurs fois dans le film : Solve the problem ! Solve the problem ! Solve the problem ! … Ca m’a marqué, et désormais c’est incrusté, que voulez-vous ! Ca en devient une obsession des fois… Embarrassé
 
A chaque fois, je me pose la question : qu’est-ce qui est important ? Quel est l’objectif ? L’objectif, bien souvent, c’est que l’on soit soulagé de ce problème au plus vite, non ? Alors autant atteindre cet état de soulagement au plus tôt, non ? Vous ne trouvez pas ? Alors on résoud le problème, on est soulagé, et on peut passer à un mieux-être au plus tôt ! (Ou au problème suivant d’ailleurs ! Rire )
 
Vous connaissez sans doute cette histoire, sorte de légende urbaine :
Deux amis de longues dates se fâchent.
Navré par la situation, l’un des deux veut régler la situation au plus tôt, car le plus important pour lui, pour eux, c’est qu’ils retrouvent cette amitié, cette discorde n’étant qu’un simple gros nuage dans leur complicité…
Mais l’autre s’entête et lui ferme la porte au nez car il est très fâché.
Celui qui voulait retrouver son ami au plus vite repart donc, dépité, et remonte dans sa voiture. Malheureusement, encore trop absorbé par cette situation qui le perturbe, il ne fait pas attention à la route et décède dans un accident.
L’autre ami finit par apprendre la nouvelle et pleure toutes les larmes de son corps en regrettant d’avoir perdu son ami en étant fâché après tant d’années de belle amitié.
N’attendez pas que les êtres qui vous sont chers disparaissent pour leur dire que vous regrettez et à quel point vous les aimez… Pour un couple, ne dit-on pas "Ne vous endormez jamais sur une querelle…" ?
A mes parents, lors de leur mariage il y a désormais 55 ans, le prêtre a dit ceci : "Et surtout si vous vous fâchez, n’oubliez pas de vous réconcilier : les retrouvailles sont toujours tellement agréables !" Clin d'oeil
 
Catégories :Humeur

Avec des si…

A vous mesdemoiselles…
 
  • Si vous faîtes un bon score ici,
  • Si vous savez éviter de me prendre la tête,
  • Si vous arrivez à éviter d’être du style "Y’a pas de problème, donc j’en crée !"
  • Si ça vous suffit une vie simple avec un mec avec des besoins simples,
  • Si vous savez vous contenter de ce que vous avez,
  • Si je ne suis pas obligé de vous acheter une bague de marque à 2000€ pour que vous arrêtiez de faire la g*** tête…
  • Si vous pouvez éviter de me prendre pour un imbécile (je reste soft, ce blog est public !),
  • Si on peut éviter d’être obligatoirement en conflit avec votre parenté,
  • Si vous n’avez pas d’ex, ou de mari dans le placard,
  • Si vous savez vous retenir d’éteindre le poste quand une fille en maillot de bain passe à la télé,
  • Si l’article précédent vous parle tout autant qu’il m’émerveille,
  • Si cela vous parle également,
  • Si vous savez éviter de me prendre la tête avec des niaiseries de cour de récréation,
  • Si, comme moi, vous aimez résoudre les tensions au plus vite pour éviter de perdre 2 jours à se faire la g*** tête et se retrouver le plus rapidement possible,
  • Si vous comprenez à peu près toutes les subtilités qu’il y a dans le mot "épouser",
  • Si les paroles "dans la joie, comme dans la peine" vous parlent également,
  • Si vous savez voir plus loin que l’expression "Carpe Diem",
  • Si vous êtes mieux quand l’autre est là et pas justement quand il n’est PAS là,
  • Si vous savez vous projeter/amuser à 2 quand on visite un magasin de meubles,
  • Si vous n’êtes pas "trop bien pour moi", ou que je ne suis pas "trop bien pour vous",
  • Si l’expression "Fais comme chez toi" vous enthousiasme dans le début d’une relation à 2,
  • Si, pour vous aussi, la discussion est un des piliers d’entente dans le couple,
  • Si, en plus, vous savez vous exprimer autrement que par SMS, MSN ou "Messages Persos" des sites sociaux, et autres kikoo-loleries d’ados,
  • Si votre religion, ou votre famille, ou vos traditions vous l’interdi(sen)t, mais que le sens de "Perte du libre arbitre" vous parle,
  • Si vous n’avez pas forcément besoin de garder vos bottes en toute circonstance,
  • Si, pour vous, je peux être plus que celui du Mercredi, celui d’un soir, le 3e dans la file d’attente du Samedi soir, ou celui qui peut rester après le petit-déjeuner,
  • Si je peux éviter d’être le bouc-émissaire d’un père absent ou d’un beau-père tyrannique,
  • Si je peux éviter d’être la revanche d’une relation précédente mal digérée,
  • Si les mots complicité, sincérité, simplicité sont aussi importants pour vous,
  • Si vous êtes toujours là après toutes ces lignes, 
Faîtes-moi signe. Embarrassé
Catégories :Humeur

Emerveillement…

Et respect ! Embarrassé
 
Dans la même veine que ce billet
 
Le tendre anniversaire des plus vieux mariés du monde

Marguerite et André Debry, 100 et 107 ans, fêtent aujourd’hui dans l’Indre leur 81e anniversaire de mariage. Un record que les intéressés expliquent par des recettes simples : ils ont les mêmes goûts, se respectent et… ne se disputent jamais.
EN DECERNANT le 9 juin à deux Américains de Philadelphie le titre de « plus vieux mariés du monde », « le Livre Guinness des records » a raté le coche. La palme de la longévité amoureuse revient en effet à Marguerite et André Debry, 100 et 107 ans. Ils fêtent ce midi leur 81 e anniversaire de mariage dans leur belle demeure d’Argenton-sur-Creuse (Indre). Pour célébrer l’événement, pas de grand banquet, mais un déjeuner en famille, avec une coupe de champagne. « Ce sont des gens discrets qui ne cherchent pas à faire parler d’eux », glisse leur fils cadet, Michel, 55 ans. En écoutant Marguerite, on en est convaincu. « Appeler le Livre des records pour corriger l’erreur ? Ma foi non, lance-t-elle en riant. On ne s’occupe pas de tout ça ! » « J’aurai coûté cher à l’Education nationale » Même si André ne voit quasiment plus, les époux, qui vivent toujours chez eux, sont plutôt en forme pour leur âge. Il faut dire que monsieur a vu le jour à la fin du XIX e siècle, le 15 juin 1898, à Rosières-en-Santerre (Somme) d’un couple d’instituteurs. André, qui est l’un des neuf derniers poilus encore en vie, a rencontré Marguerite Pingaud peu après la Première Guerre mondiale. Une idylle a débuté à la faveur des travaux réalisés par le père de Marguerite à la maison des Debry, gravement endommagée pendant le conflit. « L’amour est venu petit à petit. Ce n’est pas le marché aux puces. Ça a pris du temps. Nous avons réfléchi », raconte Marguerite qui dit ne pas se souvenir très précisément de ce jour de 1924, le 12 août, où elle a dit oui à André. De leur union sont nés deux enfants : Daniel, chirurgien retraité âgé de 78 ans, et Michel, père d’Eloïse, 10 ans, qui déjeune avec ses grands-parents tous les mercredis. Successivement instituteur, professeur de mathématiques, puis principal de collège à Bellac (Haute-Vienne), André a quitté l’enseignement en 1957. Il a déjà passé plus de temps en retraite (quarante-huit ans) qu’en activité (près de quarante ans). Une situation rarissime qui inspire à l’intéressé cette réflexion ironique : «J’aurai coûté cher à l’Education nationale !» Tout au long de sa vie, André qui apprécie son verre de vin au déjeuner (il avoue un faible pour le juliénas), a cultivé trois passions : les mots croisés, le jardinage et la pêche à la ligne. «A 100 ans, il allait encore pêcher le bar en mer», assure son fils, admiratif.
 
Le secret d’une telle longévité amoureuse ?
«Ça s’est fait naturellement, explique André. Nous aurions pu ne pas nous entendre, mais ça a marché tout seul. C’est même curieux que nous soyons restés aussi longtemps l’un près de l’autre, attachés l’un à l’autre», confie-t-il avec une lucidité touchante. Bien coiffée, élégamment vêtue, un foulard autour des épaules, Marguerite qui, selon son époux, «sait tout faire», n’explique pas davantage leurs quatre-vingt-un ans de vie commune : «Nous avons vécu ça machinalement. La vie nous a entraînés. Jamais on ne s’est disputés. Nous vivons depuis si longtemps ensemble que nous avons les mêmes goûts, les mêmes habitudes.» «Quand on a faim, tous les plats sont bons» Bien sûr, André a ses défauts. «Mon Dieu, ça fait tant de temps, je m’y suis habituée», glisse la centenaire qui chaque matin, depuis que son mari a perdu la vue, lui résume le contenu des articles du quotidien local. Aux petits malins qui lui demandent comment elle prend soin de sa santé, Marguerite répond dans un grand éclat de rire : «Je mange n’importe quoi, enfin, tout ce qui est comestible. Quand on a faim, tous les plats sont bons. J’aime aussi le bon vin.»
 
Aidés par deux auxiliaires de vie, qui veillent notamment à la préparation des repas et au ménage, «les plus vieux mariés du monde» apprécient d’être choyés par leurs proches (deux enfants, quatre petits-enfants, six arrière-petits-enfants) et de pouvoir toujours profiter de leur maison avec son grand jardin. Lorsqu’elle se penche sur son passé «qui se perd dans la nuit des temps», Marguerite confie, le regard plein d’assurance : «Je me suis tenue le mieux possible, comme épouse et comme mère de famille. Je me conduis comme si Dieu existait.» Avant de conclure, mi-philosophe, mi-ironique : «Il faut vieillir pour devenir célèbre !»
 
 
Facile finalement ! Embarrassé
Catégories :Actualités et politique

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02/06/2009 1 commentaire
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