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Archive for janvier 2008
Le bonheur c’est simple
30/01/2008
3 commentaires
La musique adoucit les moeurs.
Voici mon truc bonne humeur du moment : lorsque je veux me redonner un coup de fouet, me booster, me défouler, je mets ça…
en le positionnant ou attendant avidement la partie qui commence pile-poil à 2’15.

Pour profiter pleinement de ce merveilleux moment, je vous conseille de mettre en pause le jukebox Deezer tout en bas de cette page…
J’avais déjà évoqué, lors de mes précédents posts quelques unes de mes tripes musicales, aussi variées que :
– Mattafix (les 2 versions),
– Le RaÎN’B Mix de DJ Mot,
– Alanis Morrissette,
– Sa version 2007 de "Uninvited" (reprise depuis par les Freemasons),
– Amr Diab :Ana aktar wahed beyhebak et Wahasteeny,
– Le RaÎN’B Mix de DJ Mot,
– Alanis Morrissette,
– Sa version 2007 de "Uninvited" (reprise depuis par les Freemasons),
– Amr Diab :Ana aktar wahed beyhebak et Wahasteeny,
– Youm wara Youm (Jour après jour) de Samira Ben Saïd & Cheb Mami
Je sais : certains vont trouver cette version remix de Degrees of motion (Mischa daniels funktion remix) un peu trop martelante ("Passe-moi l’tournevis !"
), mais je répète le code : passez direct à 2’15 !


Sinon, pour mémoire, le morceau original de Siedah Garrett (1985) :
Catégories :Musique
Pensée d’une nuit
24/01/2008
4 commentaires
Ecrit à l’arrache en pleine insomnie.
Je suis le trublion
Celui qui n’a pas sa place
La pièce rapportée
Le petit poucet
Qui a perdu son chemin
Sans repères
Sans balises
Qui ignore où les mettre
Les poser
Les ranger
Ces satanés valises
Je suis partout mais nulle part
Sur toutes les places mais jamais à la sienne
De tous les moments, mais jamais là aux bons
Je décide de mes faits
Décide de tous mes gestes
Je jouis de l’ultime liberté
De tout pouvoir choisir
Décider sans entrave
Sans aucun garde-fou
Au point d’en rechercher, d’en manquer,
D’en supplier les cieux.
Je me manque, je vous loupe
Je suis toujours là, mais jamais pour personne.
Ou du moins pas les bonnes.
Je suis à droite à gauche
Mais ça n’a aucun sens
Je cherche qq’1 mais ne le trouve pas.
Le féminin plutôt.
Le masculin ? Le pluriel !
Je cherche un lieu, une date, une heure
Je suis de toutes les places
De tous les instants
Mais où est-ce, et quand ?
Où dois-je aller, être, et à quel moment ?
Je suis de tous les lieux
Suis de tous les instants
Mais jamais là aux bons
Ou pour la bonne personne
Je décide mais me trompe
Je choisis, me fourvoie
Vous êtes où je ne suis pas
Je suis où ne faut pas
Pour vous
Pour lui
Pour elle
Pour qui ? Pour moi ?
"Tu etais dans la foule. Je ne voyais que toi"
Mais ça n’est pas venu
Ou du moins pas encore
Si ? Ah bon ! Non ? Pas vrai ?
Impossible : j’y étais !
Ai-je manqué ce moment ?
Je suis de tous les lieux
De tous les instants
Mais "Je ne suis pas là"
Ou alors "Dans un mois ?"
Alors que mon agenda est toujours à remplir
Vide et avide des gens
Qui ont besoin de moi
Dont j’aurais tant besoin ?
Je suis de tous les lieux
De tous les instants
Mais jamais là aux bons
Ou pour la bonne personne.
Où es-tu ? Etes vous là ?
Je ne vous vois même pas
Ou du moins n’y suis pas.
Je sais : je ne sais pas.
Internet, MSN
L’ubiquité 2000
Pour tous mais qui en fait ?
Etre là sans y être.
Je suis de tous les lieux
De tous les instants
Mais jamais là aux bons
Ou pour les bonnes personnes.
Catégories :Humeur
Pas si légendaire que ça…
20/01/2008
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Tchi Tcha
Voilà ce qu’il peut vous arriver : être prisonnier de votre passion. 

Ces jours-ci, je me retrouve beaucoup au cinéma, et pour cause : ayant des cartes d’abonnements dans un peu tous les cinémas de la métropole, je me retrouve confronté aux… dates d’expiration ! 

J’avais il y a quelques temps pris un carnet de 10 places pour le Kinépolis à cause d’un tarif très intéressant (3.50 €)… Le problème, c’est que je ne vais jamais au Kinépolis de mon plein gré ! Et comme personne ne m’a motivé depuis, me voici à devoir les écouler absolument avant la fin du mois ! 

Fin de l’aparté.
Donc ce n’est plus Lundi cinéma, mais semaine cinéma… que je résumerai par le dernier :
Bon ben c’est fait. Un petit 3*, sans plus…
Un peu mou mais bon… J’arrive pas à savoir pourquoi.
La VF (Pfffff
) ? Les zombies mal faits ? Le besoin américain de toujours tout expliquer… Le truc du papillon (« Do you see the sign ? »), le discours sur Dieu…
Bref…
Allez, vivement autre chose… Tiens, Into the wild… Gone Baby Gone ?
La VF (Pfffff

Bref…
Allez, vivement autre chose… Tiens, Into the wild… Gone Baby Gone ?
Catégories :Cinéma
Courteney Cox dans Predator ???
14/01/2008
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ou presque
Il y a quelques temps, j’ai revu « Prédator », le premier avec Schwarzenegger. En regardant ce film, je me suis posé une question : Qui joue le rôle du Prédator ?
Je suis donc allé chercher la réponse chez mon ami Google :
A part l’info suivante :
Qui devait jouer le Predator mais s’est fait viré ???Jean Claude Van Damme
On trouve la réponse : Kevin Peter Hall du haut de ses 2m19.
A noter que, le réalisateur, se rendant compte que le « Prédator » allait se retrouver devant des acteurs tous plus body-buildés les uns que les autres, jugea que JCVD ne serait pas assez grand et donc peu crédible dans le rôle d’un monstre surpuissant.
Et c’est là que je découvre autre chose : Kevin Peter Hall jouait dans une série que j’adorais quand j’étais ado : SUPERMINDS, the misfits of science :
Billy Hayes est un chercheur brillant mais plutôt déroutant : il adore les vêtements bariolés, les femmes et l’alcool. Sa nouvelle idée, c’est de remporter les cinq millions de dollars proposés par l’institut scientifique, Humanadyne.Pour arriver à ses fins, Billy, peu apprécié par ses collègues, va réunir autour de lui une équipe un peu particulière.
Il y a d’abord son meilleur ami et scientifique, Elvin. Ce dernier souffre de sa grande taille et tente de mettre au point un sérum pour obtenir une taille normale. Mais le résultat ne répond pas aux attentes : Elvin se retrouve donc avec une taille de quelques centimètres de haut pour quelques minutes.
L’autre membre de l’équipe a lui aussi un talent particulier. Suite à un accident, le rocker Johnny Bukowski, dit Johnny B., a la capacité de maîtriser et utiliser l’énergie électrique. D’abord hésitant, il accepte d’utiliser ces pouvoirs lorsque Gloria rejoint le groupe.
A peine âgée de 17 ans, Gloria est une jeune fille complexée, malgré sa beauté. Elle s’imagine comme un phénomène de foire : elle a des pouvoirs de télékinésies qui lui permettent de contrôler ce qui l’entoure. Adolescente rebelle, elle est surveillée par une assistante sociale. Mais cela ne l’empêchera pas de rejoindre le groupe, qui à la surprise de Humanadyne et de son directeur, Dick Stetmeyer, ne va pas se consacrer à des recherches mais plutôt à mettre leurs talents inhabituels au service de la justice…
Et là, je me rappelle que déjà à l’époque, je trouvais que « la brune » (Gloria) était très très jolie. 

Mais quelle ne fût pas ma surprise en découvrant que cette jolie brunette n’était autre que… Courteney Cox ! 




Bref bref bref… Predator… Kevin Peter Hall… Misfits of science… Courteney Cox… Misfits of science… Friends…
Amusant comment les boucles peuvent se boucler des fois… 

C’est vrai que j’avais déjà fait à peu près ce même exercice il y a presque un an avec Joey… ICI (09/03/2007).
Catégories :Cinéma
Courteney Cox, Friends
Prisonnier ?
08/01/2008
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Je ne suis pas un numéro, |
Récemment, une question m’a été posée. Je ne dévoilerai pas toute l’étendue de la discussion, mais je vais essayer de la résumer ainsi :
Il y a 2 questions en une, oserais-je dire. J’ai donc répondu en 2 temps.
Ca je ne sais pas… Peut-être veut-il juste abuser de la situation. Peut-être est-il sincère… ou pas…
Effectivement, peut-être qu’après une histoire assez forte, si la personne réapparait, cela peut perturber… Personnellement, je ne trancherai pas sur cette partie parce que, pour moi, là n’est pas la question. Le plus important reste dans la première partie.
Je ne répondrai pas directement à la question, mais il y a une évidence que j’ai faite mienne : Personnellement, je refuse d’être le No 2. Plus exactement, je n’accepte tout simplement pas d’être un numéro. Et plus que ça, je n’accepte pas d’être un parmi tant d’autres.
Voilà, c’est comme ça. C’est ma vision, et je pense que la leçon de cette histoire est là. Personnellement, j’ai beaucoup trop à donner, à offrir, pour n’être simplement qu’un numéro 2.
Si je dois avoir un numéro, je n’accepte que le 1, comme le numéro que je lui attribuerais également, sinon je ne vois pas ce que je fais là.
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Catégories :Non classé