Qu’on en parle en bien ou en mal
L’essentiel, c’est de ne pas en parler.
Souvenez-vous, c’est ce que l’on a dit pour Trump.
Il a été dit qu’une des raisons pour lesquelles des américains ont voté pour Trump, c’est pour protester, se révolter contre le Trump-bashing orchestré par les médias, et en particulier par l’establishment artistique qui n’a cessé de le conspuer.
Attention, donc, Mesdames et Messieurs les médias, Mesdames et Messieurs les journalistes, Mesdames et Messieurs les artistes, à ne pas trop taper, trop critiquer Marine Le Pen et le Front National, ici, en France, au risque de provoquer la même effet qu’aux Etats-Unis.
Comme disait donc Léon Zitrone,
Qu’on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L’essentiel, c’est qu’on parle de moi.
Je reprendrais, en logique inverse, ce que je disais en début d’article :
Qu’on en parle en bien ou en mal, l’essentiel, c’est de ne pas en parler.
Alors, donc, arrêtez d’en parler, en bien ou en mal l’effet sera le même. Vous risqueriez de créer ce que vous ne voulez pas… ou peut-être est-ce justement ce que vous voulez…
On me souffle dans l’oreillette que cette citation, si bien trouvée qu’elle soit, et si estimable que soit son auteur, ressemble beaucoup à la citation d’Oscar Wilde :
En Français :
Zitrone, formidable copieur ?